Le nombre d’utilisateurs sur Facebook ( FB pour les intimes !) ne cesse de croitre si l’on en croit la sur-estimation faite par la société. Ce serait toute la population qui s’y mettrait. Si l’on en croit les chiffres de Facebook, c’est plus de 300 % de la population citadine (dans le cas d’Oslo) qui aurait un compte actifs.
300 % ! cela signifie que l’on doit compter100% de la population (chiffre déjà improbable : toute la population c’est aussi les bébés et même les allergiques à facebook) et on devrait chercher les 200 % manquants parmi les personnes morales (entreprises), les morts et ceux qui ont 3 comptes… Et on serait toujours très loin du compte
Dans quel intérêt Facebook gonflerait sans vergogne les chiffres de ses membres actifs ? Après maintes explications tirées par les cheveux données par la société en question (noeuds de connexion passant par les grandes villes, multiplicités des lieux de connexions IP des utilisateurs chez eux et au travail) la raisons s’avérerait bien plus terre à terre : Facebook gonflerait ses chiffres dans l’espoir d’attirer plus d’annonceurs (peu confiants en général sur l’efficacité des publicité sur les réseaux sociaux) au moment où il met en place un outil de création de publicité simplifié. Outil, qui, à l’instar de Google adwords, permet de créer des campagnes ciblées par villes et par pays. Plus de potentiel en terme de clientèle sur des publicités géolocalisées, c’est plus de moyen à investir pour les annonceurs.
source : znet