Nous connaissons tous le web 2.0 qui se définirait en un mot par « interactivité » : l’internaute n’est plus seulement de passage, un simple lecteur (web 1.0), il devient (ou peut le devenir) l’un des acteurs du web.
Mais le web 3.0 qu’est ce que c’est ?
Pour certains il s’agit du « web des objets ». La domotique : des maisons qui vous attendent chaudement, des horloges toujours à l’heure, des frigos toujours remplis … bref, des objets « intelligents » dont vous ne pourrez plus vous passer (de toute façons, il n’y aura plus que ceux là sur le marché !).
Pour d’autres, il s’agit du web sémantique. Une méthode qui permet déjà de trouver plus facilement l’information par le biais de l’indexation à l’intérieur de balises que nous pouvons trouver sur « schema.org » ou « microformats.org ». Tout cela pour que les moteurs de recherche répondent au mieux aux requêtes des internautes.
Pour beaucoup également le web 3.0 inclut la « mobilité ». Les attitudes de navigation sur internet ont considérablement varié cette dernière année. Les tablettes et surtout les smartphones sont de plus en plus communs autour de nous. Le web est dans notre poche. La géolocalisation, un des points forts du web 3.0, mais aussi l’info en temps réel, permettent déjà à nos amis, nos connaissances, de savoir où nous sommes, avec qui, ce que nous aimons, ce que nous achetons …
Voici donc, en trois mots, ce que signifie le web 3.0 : domotique, référencement et mobilité.
- Les points forts du web 3.0 : prévenir les pannes et les manques, faire des économies d’énergie, rester en contact avec votre communauté …
- Mais comme toujours si nous y gagnons, les marketeurs aussi. Il est très facile ensuite d’obtenir des informations précises sur les consommateurs que nous sommes et les habitudes que nous avons. Le but ? Cibler très précisément les offres commerciales en fonction de nos préférences. Le seul souci est que nous y perdons un peu la maîtrise de notre vie privée.
Une chose est sûre, le web n’a pas fini d’évoluer et, du coup, les techniques marketing qui l’entourent non plus.