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Webmarketing

e-marketing ou webmarketing

« Pages jaunes » bleues

pagesjaunesLes pages jaunes sont maintenant bleues (au moins sur la première pages) :  une page aux couleurs de  » l’âge de glace n°3″. De la publicité sur les pages jaunes, ce n’est pas vraiment nouveau, ce qui l’est c’est la présentation : une pleine page de publicité.

Et il va peut être falloir s’y faire : en septembre 2009,  Julien Billot occupera le poste de directeur général adjoint en charge du nouveau pôle Internet de Pages Jaunes. La principale tâche de celui que l’on nomme déjà le « M. internet » des pages jaunes sera de développer la branche numérique de l’éditeur d’annuaire.

Un bel emplacement en tout cas !

search wiki

searchwikiAvez-vous remarqué les deux icônes présents après chaque résultat de recherche Google ? Soit vous êtes distraits, soit vous n’êtes pas connectés sur votre compte Gmail, ou alors, plus simplement (car ce n’est pas obligatoire), vous n’avez pas de compte Gmail.

Et oui, Google met encore un gadget à la disposition des ses utilisateurs et leur permet de contribuer à la pertinence des résultats de recherche, mais aussi de les commenter. En effet si un résultat vous parait plus cohérent qu’un autre parce que la page répond mieux à votre requête alors autant la faire monter, pour en faire profiter les autres. Rappelons quand même que l’idée n’est pas nouvelle ; Wikisearch propose la même chose depuis presque un an.

Pour l’instant on ne peut pas dire que le succès est franc, peu de votes et presque pas de commentaires en France… j’ai cherché « Google (fr) » (78 pour et 8 contre) et « France Inter » (10 pour et 1 contre). A voir quelle sera l’évolution de cet outil et son l’utilisation par les webmarketeurs.

Buzz ministeriel

Cela fait beaucoup de vidéos d’un coup sur emandarine, mais je ne pouvais pas laisser passer celle là.

Une opération webmarketing qui tourne mal pour un ministre… même si à l’évidence son équipe de communication a trouvé de bons moyens de faire parler de lui.

Une parodie d’action discrète, désopilante sur la recherche du succès sur internet à tout prix. A voir pour se détendre.

source stan&dan

20 jours de pub

20jours« Tout a commencé le 22 décembre. J’ai rencontré cette fille dans le train Bruxelles-Liège de 10h41. Elle m’a cloué sur place, pas pu parler ni bouger, juste le temps de la dessiner pour imprimer son visage sur papier. Elle a oublié son écharpe sur son siège en partant, j’ai pris ça comme un signe du destin et je me suis donné jusqu’au 24 janvier pour la retrouver… ». Voici comment commence la fabuleuse histoire d’amour de Kevin Polof.

Le dessin circule partout en Belgique et des centaines d’écharpes roses sont accrochées un peu partout, les personnes (des jeunes surtout) qui veulent aider sont mobilisés, deux blogs, Facebook et même youtube (chaque jour)… une machine énorme est mise en branle pour aider Kevin Polof à retrouver sa dulcinée. Et ça marche, les gens se réunissent et cherchent pour lui cette mystérieuse fille ou alors ils suivent, en temps réel sur internet, cette quête amoureuse. (suite…)

Minute de connaissance

caminteresse.jpg

C’est par pur hasard que j’ai trouvé ce matin « la minute de connaissance » de ça m’intéresse. J’étais sur Youtube, et comme toujours je lance ma recherche et puis je clique sur autre chose. Je me suis donc retrouvé sur la page youtube de « ça m’interesse » (10 vidéos disponibles depuis une semaine).  Et de fil en aiguille, j’étais sur le site de « ça m’interesse » où se trouvent toutes les vidéos produites. Un parcours fléché très bien conçu.

Les vidéos pourraient être considérées comme des micro-formations (de 1 minutes 25) destinées aux ados sur des thèmes de culture générale. C’est assez bien fait, c’est dynamique et intéressant. Pour ce qui est de la durée du document vous avez l’explication ici  » Pourquoi les ados sont-ils mous ? », comme quoi « ça m’intéresse » connait bien sa cible !

On notera, encore une fois, l’intérêt de mettre quelques unes de ses productions sur le site de youtube (deuxième moteur de recherche après Google), c’est sans nul doute un moyen webmarketing très efficace pour générer de la circulation sur ses propres pages.

… maintenant vous savez !

2 sites e-commerce

soiakyo.jpg

Voici deux site e-commerce faits en flash, qui ont l’avantage d’être très esthétiques et peut être l’inconvénient d’être tous les deux assez peu ergonomiques.

Mais qu’importe, rien que pour le plaisir des yeux et pour s’inspirer un peu, il est toujours agréable d’aller faire un tour sur de tels « jouets » e-marketing.

loworks_store.jpg
Le premier est celui de Soïa & Kyo : une marque de vêtement. Le site est très joli mais il est assez lourd, il n’est donc pas accessible à tous. Mais la présentation est agréable et les images sont belles.

le deuxième celui de Loworks, un site encore plus beau que le précédent, une impression papier buvard et des dessins naïfs colorés avec beaucoup de goût. Au niveau ergonomique et marketing c’est assez abstrait, difficile de savoir ce que l’on va trouver dans cet espace.

email temporaire

tempinbox.gif

Une solution simple et efficace pour éviter de polluer votre boite au lettre avec des « spams » intempestifs ou des messages que vous ne désirez pas. Surtout lorsque vous n’êtes pas sûr de là où vous mettez les pieds et que l’on vous demande une adresse email pour vous inscrire afin d’obtenir une information ou d’autres avantages qui vous ont amenés dans ces lieux.

Car il faut bien considérer que ce que vous obtenez « gratuitement »coûte parfois le prix de votre adresse email. Ce sont des produits d’appels, fruits d’actions webmarketing ciblées. Ces sites vous proposeront par la suite, et dans le meilleur des cas, d’autres produits ou services en phase avec votre requête de départ.

Beaucoup ont des adresses « poubelles » qu’ils utilisent dans ces cas précis, mais il faut là aussi (comme sur votre adresse principale) faire le ménage de temps à autre. C’est là qu’est tout l’intérêt de Tempinbox. Pas de ménage et l’accès à votre mail provisoire est très facile : pas de code et pas d’enregistrement, les messages disparaissent au bout d’un laps de temps sans que vous ayez à agir dans ce sens.

Juste une impression

impression.gifLa marque Essilor, qui fabrique des verres de correction, n’est plus à présenter. Tout le monde, qu’il ait des lunettes ou non, connait ce nom.Il n’empêche qu’Essilor s’offre un petit coup de e-marketing, sympa et à peu de frais, pour créer de la circulation sur leur site.

Six impressions optiques corrigées qui s’expliquent progressivement à l’aide d’un curseur. Le site s’inspire de l’existant, du ludique et d’un sujet en phase avec l’utilité de leurs produits. Simple mais il fallait y penser !

Source : e-learning Bretagne

Résaux à vendre

angry_whopper.jpgMais non, il n’y a pas que des mauvaises choses sur Facebook, au contraire. D’un point de vue marketing c’est même une média très digne d’intérêt. C’est ce qu’a compris l’agence Crispin Porter & Bogusky qui a imaginé de faire un buzz à tout petit prix pour le lancement d’un hamburger.

Le but de l’opération marketing est d’informer la cible de la sortie du « Angry Whopper » par le biais du fameux site. Vous allez voir que la technique est simple : Pour cela la marque crée un membre nommé « Angry Whopper » qui n’est rien d’autre que le nom d’un gros hamburger… il est vrai qu’un hamburger n’a rien à faire sur un réseau social, mais là n’est pas la question. La société fait savoir que si vous arrivez à placer 10 « Angry Whopper » parmi les membres du cercle d’amis de votre réseau vous gagnez l’équivalent de la coquette somme de … 3.69 $ !
A ce jour 230 000 personnes sont amis avec un hamburger, l’idée est très intéressante et elle est surtout terriblement rentable sur plusieurs niveaux :

(suite…)

eCulture

eCulture.jpgUn clip qui donne la tendance actuelle des TIC dans le monde de la formation initiale : « Comment allez-vous inclure l’eCulture dans vos programmes de formation ?« .

Force est de penser que l’avenir de la formation continue suivra cet exemple, question de génération et de nouvelles compétences d’apprentissage. Le monde de la formation ne sera plus celui que nous avons connu. Ce n’était certes pas un mauvais modèle, mais celui de l’apprentissage via l’interactivité, l’image et la liberté de construire son propre parcours de formation à travers des objectifs spécifiques semble être plus en phase avec les attentes présentes et futures.
Voilà de quoi rendre le monde du e-learning encore plus optimiste et plus créatif.

Pour en savoir plus sur le projet : Ynternet.org

Grey and black Marketing

e_marketing.jpgNon, tout n’est pas rose sur internet, ça on le savait déjà, pour être au top il faut jouer des coudes (grey marketing) et peut être même parfois des poings, sans lésiner sur quelques coups de pied bien placés (black marketing), ces mêmes coups qui font mal et qui peuvent rapporter gros. Il y a bien quelques risques, mais dans cette jungle où Google fait autorité, il est bien difficile d’obtenir réparation, une fois que le mal est fait : cela dure !

Voici une vidéo-conférence animée par Philippe Floch, consultant e-marketing, qui vous en dira plus sur les pratiques et les techniques e-marketing des entreprises.

sources : conseil créateur

Marketing à tout casser

wario.jpgNitendo présente sur (et en collaboration) avec Youtube une campagne publicitaire fracassante. Ce travail marketing est produit par l’agence graphique Goodby, Silverstein & Partners.

L’animation est l’oeuvre d’un « flash guy » de san fransisco dont le site  minimaliste ne m’a pas permis de savoir plus que son prénom. Mike, préfère laisser son travail parler de lui. Avec cette campagne, je pense que ce sont les autres qui vont parler de son travail. Bravo en tout cas !

Une fois l’animation finie et que tout est bien cassé, vous pouvez à l’aide de votre souris continuer à retourner les blocs ou recommencer l’animation pour une deuxième couche.

Esthétique, interactif, amusant et vrai marketing viral !

Source suivez le geek.

Pensez à votre e-réputation

Que vous soyez une marque ou un individu vous n’êtes pas à l’abri d’une mauvaise image sur internet. Que celle-ci soit conçue par vous ou par d’autres, aujourd’hui ou il y a des années.

reputation.jpgNouveaux problèmes, nouvelles solutions, il existe maintenant des entreprises telles que « reputation defender » qui sont chargées de débusquer les propos négatifs vous concernant et de les éradiquer de la toile. Un argument en gros et en gras sur la première page : « 43 % des recruteurs éliminent certains candidats à cause de contenu négatif trouvé sur Internet ». Un nouveau marché, à 29.95 € l’item à éradiquer, vient de naître et apparemment ce ne sera pas du inutile pour certains : voir l’article « recherche nominative » sur emandarine.

matelsom.jpgEt pourtant, je pense au cas « Matelsom » qui s’est vu taxer de promouvoir l’homosexualité à travers une affiche publicitaire que l’on ne voyait que dans les couloirs du métro parisien. Alors que certains s’agitent bruyamment  pour dénoncer l’aspect « contre nature » de cette campagne (Ici), Matelsom s’explique calmement sur son blog (). Pas plus que cela, d’autant ils n’ont rien à se reprocher et que cette polémique ne les dérange pas outre mesure : la critique est minoritaire. Résultat, un joli coup de coup de buzz imprévu qui prolonge leur campagne marketing et touche d’autres clients potentiels bien au delà des couloirs du métro de la capitale.

Je ne sais plus qui m’avait dit : «  Que l’on parle en bien de toi ou en mal, l’important c’est qu’on parle de toi ! ». C’est parfois vrai, mais autant le calculer un peu cependant.

source : Archimag

Jeff & Barbara

jeffbarbara.gifMarketing et e-learning font bon ménage, ce n’est pas nouveau, c’est vrai !
Mais la campagne publicitaire de Marché Online a quelque chose en plus : si l’on ajoute la formation au marchandisage, elle s’inspire en outre des séries TV pour ses spots publicitaires avec la création de deux héros Jeff & Barabara.

Le but de cette campagne pédago-marketing est de relancer les fournisseurs inscrits sur le site qui ne se sont plus connectés depuis au moins 6 mois. Plutôt que de les perdre autant les contacter pour leur faire comprendre tout l’intérêt et le fonctionnement de cette société en ligne. L’idée est bonne et il semblerait que cela fonctionne.

Pour en savoir plus : Le journal du net

Etat des lieux du e-learning

centreinffo.gifPour ceux qui ne seraient pas encore abonnés à la lettre du Centre INFFO, je fais suivre cet article de Michel Lisowski paru cette semaine sur le site. E-learning : où en est-on ? Cet article a été édité dans l’Actualité de la Formation Permanente n° 210 de septembre-octobre 2007.

le sommaire et les liens de cet état des lieux de l’e-learning :

ccip.gif

Continuons avec cet appel à participation pour l’édition du « Baromètre CCIP e-learning » publié tous les deux ans par la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris.

le PREAU, centre pour le e-learning et l’innovation pédagogique et l’OFEM, Observatoire de la Formation, de l’Emploi et des Métiers souhaite à travers cette enquête « mieux connaître les méthodes de formation adoptées par les entreprises. Ce baromètre constitue en effet un outil pertinent de mesure des nouvelles pratiques et des tendances en matière de e-learning et Knowledge Management.« 

Learning Content Development System

elearningmicrosoft_1.gifNous présentions, il y a peu, momindum studio et voici que déjà un autre logiciel, téléchargeable librement est, déjà depuis quelques jours, à disposition des technopédagogues. Il s’appelle « Learning Content Development System« , LCDS pour les intimes et c’est Microsoft qui vous l’offre.

Le logiciel permet de créer du contenu pédagogique en  » rich média » et de diffuser ses formations en streaming, il est également compatible avec les norme SCORM.

Pour en savoir plus sur le fonctionnement de ce logiciel, je vous conseille de lire le très complet billet de Skolanet, qui aborde les points forts mais aussi quelques problèmes de compatibilité (Défaut récurent des outils Microsoft).

Learning Game

___learning.gifLe Learning Game : un nouveau concept et un nouveau mot, qu’il va falloir rajouter à votre lexique de technopédagogue. Ce concept, qui s’intègre dans l’e-learning, cherche à placer l’apprenant dans une situation d’apprentissage attrayante et motivante.

Pourtant la définition du « Learning Game » ressemble à celle du « Serious Game ». D’après les créateurs de ce concept, ils se distingueraient pourtant clairement l’un de l’autre : alors que les Serious Games s’appuient sur la technologie avancée des jeux vidéo (en plaçant les joueurs dans un jeux de rôle à dessein pédagogique), le Learning Game, lui, propose de placer les apprenants dans un univers immersif, favorisant l’apprentissage et suscitant l’imaginaire.

Sur le papier et sur mon écran, j’ai l’impression que c’est exactement la même chose. Si ce n’est que l’on pourrait penser que le « Serious Game » s’adresse à des joueurs (sérieux) et que le « Learning Game » à des apprenants (joueurs).

Cela dit j’adopte le mot (j’avais déjà adopté le concept : rendre l’e-learning plus attrayant et plus efficace grâce à la simulation) ; parce qu’il est vrai que je préfère de loin le terme « Learning Game » à celui de « Serious Game », pour des raisons lexicales et marketing : comme beaucoup, je préfère apprendre en m’amusant que jouer sérieusement, même si cela ne change rien à la méthode !

Que devons-nous finalement déduire de cette « nouveauté » ? Quand on connait les difficultés que rencontre l’e-learning on peut dire que ce coup marketing tombe au bon moment : celui où l’on tente de relancer, comme on le peut, un concept e-learning qui promet beaucoup en termes économiques, mais qui a du mal à répondre aux attentes des ressources humaines.

Nous pouvons également constater que pour faire parler de soi (voir X-perteam), il vaut mieux renommer ce qui existe déjà, que créer une méthode réellement innovante sans nom.

A tester cependant, si l’équipe d’X-perteam nous lit…

iTunesU

itune.gifLa filière Education d’Apple propose le service iTunesU où les utilisateurs peuvent chercher, télécharger et écouter des cours par le biais du logiciel iTunes. iTunesU propose donc des contenus éducatifs de différentes universités et organisations éducatives des États Unis. Les cours peuvent être écoutés dans les dispositifs mobiles d’Apple.

Certaines universités, comme celle de Stanford proposent les contenus gratuitement. D’autres les proposent uniquement à leurs étudiants.

Le service n’est pas tout neuf, mais je le découvre à peine.

Lego a 50 ans

google_lego.gif

Il y a 50 ans, ce 28 janvier, que le brevet de Lego Brick a été déposé. Google profite de cet évènement pour faire encore un peu parler de lui.

Pour en savoir plus sur l’aventure Lego, commencée il y a bien longtemps par un charpentier danois, il y a wikipedia.

Micro-learning et micro-pédagogie

microlearning.jpgLe micro-learning est un autre concept du e-learning, qui, comme son nom l’indique, présente des sessions de formation de plusieurs fois quelques minutes sur plusieurs jours. Une idée qui profite des avancés techniques du web2 et qui trouvera certainement sa place dans le contexte du Droit Individuel à la Formation.Les arguments avancés en faveur du micro-learning : dans cette vidéo et le « flashpaper » sur le site de « microlearning.net » sont clairs et suffisants pour avoir une idée précise de ce qu’est le « micro-learning » et sur ce qu’il apporte. Cependant, pour chipoter un petit peu, c’est l’association dans cet ordre des mots « micro et pédagogie » qui me dérange le plus sur leur site. « Micro-pédagogie » : littéralement « petite pédagogie ».

« En nous lançant à la découverte de la micro-pédagogie, nous avons le sentiment d’ouvrir un nouveau territoire immense et fertile. »

Bien sûr, « micro-pédagogie » cela ne revient pas à dire, dans le contexte de la micro-formation, que moins la formation est longue et moins la part de pédagogie est importante. En tout cas, je l’espère.

Pediaphon

pediaphone.jpgPediaphon est un outil libre qui vous permet de convertir un article de wikipedia en fichier audio : « E-learning et m-learning avec les lecteurs MP3 et les téléphones portables ! « … on a un peu vite fait de faire du e-learning ou du mobile-learning ! d’autant que les articles de wikipédia ne sont pas initialement prévus pour être des outils d’apprentissage audio et que le robot à un débit et une voix synthétique franchement insupportable : Bien qu’amusant, le résultat est franchement indigeste.

L’initiative n’est pourtant pas inutile, ni même mauvaise, déjà parce qu’elle prend en compte une alternative à l’écrit en tant que compétence d’apprentissage et que l’idée de faire du podcast à partir de document écrit pédagogique (ou non) sera certainement très courante dans l’avenir.

Ressources pédagogiques et chaines éditoriales

chaineedit.jpgLes outils auteur sont des logiciels (propriétaires, open source, payants ou gratuits) qui permettent aux enseignants de créer des contenus pédagogiques numériques. L’offre d’outils auteur est variée. Vous pouvez regarder par exemple les suites open source Dokeos ou CourseLab. Ces logiciels proposent d’intégrer différents types de contenu (images, texte, animations, etc) et permettent de publier le résultat aux formats HTML, SCORM, versions pour CDROM, et autres. Le principe utilisé par ces logiciels ce sont les modèles de documents.

Les chaines éditoriales sont des outils permettant de créer de modèles de documents et d’automatiser certaines tâches de la création de contenus, telles que la mise en forme, afin de les publier en différents formats. Les chaines éditoriales séparent le fond et la forme des contenus. À l’origine documentaires, les chaines éditoriales peuvent être utilisées en tant qu’outils auteur pour produire des ressources pédagogiques structurés. ChainEdit, proposée en open source par l’université de Rennes 1, et SCENARI, développée à l’origine par l’Université Technologique de Compiègne, sont des exemples de chaines éditoriales avec des modèles pour créer des ressources pédagogiques.

Les 18 et 19 septembre un séminaire sur les chaines éditoriales dans le cadre inter-UNT (Universités Numériques Thématiques) a eu lieu à Angers. Vous pouvez consulter les vidéos pour en savoir plus sur le sujet.

Markéting et profanation

willitblend.jpgBlendtech est encore une société qui a su se servir du markéting viral ! Et pourtant reconnaissons que ce n’était pas facile : les mixers, que l’on ne peut toujours pas connecter sur une sortie USB, ne sont pas des produits ciblés Geeks. Et pourtant ! Cette démonstration nous prouve qu’avec un peu d’imagination fracassante, il est possible d’introduire « l’effet hi-tech » … mais d’une manière assez inattendue !

Attention ! pour certains cette scène « Will it Blend : Iphone » sera perçue comme de la pure profanation et risquera de heurter les plus sensibles !

Cette vidéo, ainsi que les autres, a été supprimée de Youtube pour cause de non-respect des conditions d’utilisation. Blendtech ne se laisse pas abatre pour autant : vous pouvez voir cependant les images insoutenables de ces vidéos… hébergées maintenant  sur leur site.

L’art du cri

cri.gifCela s’appelle le Kah Ra Shin, c’est l’art de libérer sa colère et son stress par le cri. Aussi efficace que de casser la vaisselle ou une chaise sur quelqu’un. Mais bien moins cher et surtout bien moins lourd de conséquence.

Le site « libere-ta-colere.com » n’a rien de pédagogique, ni même de vraiment informatif. Il est cependant bien fait et plein d’humour.

Ce qui est intéressant dans ce concept c’est que ce site est en fait un produit marketing pour le jeu de voiture « Burnout dominator ». Et oui rien n’est gratuit !

Hair be12 chez l’Oréal

l__oreal.jpgL’oreal et netdivision se sont mis de mèche pour réaliser un outil de simulation pédagogique décoiffant au premier abord : hair be12. L’objectif pédagogique étant d’acquérir les réflexes propres à un travail dans un salon de coiffure, notamment au niveau de la relation avec le client.

Le langage utilisé et la création de votre personnage montrent directement quelle est la cible de cette « simulation ». En ce qui me concerne j’ai trouvé, parmi les avatars tous jeunes, grands, bronzés, musclés et très branchés, un personnage conforme à mon apparence physique (voir l’image) … que ceux qui me connaissent cessent de rire !

Une fois que vous aurez retiré l’emballage graphique franchement réussi de cette simulation qu’allez-vous trouver ? et bien quelque chose d’assez statique qui ressemble terriblement à un Questionnaire à Choix Multiple : un exercice plus proche de l’évaluation que de la formation. Les points abordés, découlant pourtant du bon sens en matière de relation client, ne seront pas inutiles à certains.

Vous retrouverez la sempiternelle mascotte « burlesque » et ingénue propre à la e-formation peu inspirée (sur le même principe que le trombone ou le chat de « Word ») . Rien de bien nouveau ni de très créatif finalement du point de vu pédagogique. Cependant et compte tenu de la qualité esthétique et le fait que ce produit ne passe pas à côté de sa cible me laisse penser que je devrais plus surement placer ce billet dans la catégorie Marketing & Formation que dans celle de jeux & simulations.

Source : Thot.

Second Life et e-learning

On le sait depuis longtemps l’immersion linguistique est ce qu’il y a de mieux pour apprendre les langues.
Oui mais, tout le monde ne peut se permettre de partir plusieurs mois ou plusieurs années pour apprendre une langue. C’est là qu’interviennent les nouvelles applications du e-learning et des espaces virtuels. En effet, ils ne sont pas rares ce qui pensent que Second Life (ou ce qui suivra de plus moderne) facilitera l’apprentissage « sédentaire » des langues à travers des salles de classes et de contextes culturels virtuels. Pour exemple, cette animation du « english village » sur Second Life.

Les plateformes pédagogiques GNU

cerveau.jpgLe choix d’une plateforme pédagogique n’est pas une chose aisée. Mais nous devrons considérer que s’il y a choix, c’est qu’il y a plusieurs propositions. Nous ne nous en plaindrons pas !
Et parmi ces possibilités il y en a même que l’on peut télécharger librement, gratuitement et qui sont mêmes parfois plus performantes que certains logiciels vendus certes, plus ou moins selon vos besoins, mais à des prix qu’il faut savoir considérer sérieusement.

Pourtant il est nécessaire de parler de liberté plus que de gratuité, lorsqu’on aborde la licence GNU, il est surtout question de la liberté de tripatouiller afin de personnaliser le programme en fonction de vos attentes et de vos besoins. C’est d’ailleurs pour cela que cela s’appelle surtout de l’Open Source. Cela dit ne vous y aventurez pas si vous n’avez pas de solides connaissances en PHP et en gestion de bases de données.
C’est bien pour cela que les différentes compagnies proposant des logiciels sous licence GNU vous offre le programme mais, si vous n’êtes pas capable de le faire vous même, vous propose moyennant finance de l’adapter à vos besoins.

(suite…)